C'est ce que le théâtre de la Minoterie pensait aussi: le relogement tant promis se fera, les engagements pris seraient consolidés. Que nenni!
Tout d'un coup la solution du relogement retenue semble trop chère. Mais au lieu d'en discuter avec les partenaires, les architectes et les concernés, rien. C'est le flou, on laisse courir sans se rendre compte qu'une institution culturelle, en l'occurrence un théâtre, doit prendre des engagements, planifier, se projeter dans l'avenir, comme n'importe quelle entreprise.
Une telle situation est extrêmement éprouvante pour les nerfs des responsables et de l'équipe et demande une énergie considérable gaspillée à demander des explications, chercher des soutiens, écrire aux politiques, une énergie qui serait bien mieux employée dans les projets artistiques.
"Le chat" soutient le théâtre de la Minoterie et demande à tous ses ami(e)s de parler de cette situation insoutenable autour d'eux pour mobiliser l'opinion et d'y aller pour profiter des spectacles, de se faire plaisir tout en montrant l'attachement du public à cette institution!
Le dernier spectacle "A nos morts" était d'ailleurs un modèle pour la façon comment la mémoire peut être transmise, comment un sentiment de citoyenneté ne peut se construire que sur la connaissance d'une Histoire commune et cela en utilisant les expressions contemporains aptes à capter un public jeune (voir "Le chat" du 6 janvier).
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